Carole Pellet : “La Fondation nous fait bénéficier d’un réseau d’exception”
Arrivée en Lozère à l’âge de 8 ans, sur le Causse Méjean, Carole Pellet a passé son bac à Millau. C’est à ce moment-là, qu’elle a intégré le programme des “Bourses Actives” de la Fondation.
Comment avez-vous fait pour candidater à la bourse de la Fondation ?
Mon professeur principal de Terminale m’avait transmis l’information et ma mère m’a poussée à participer. J’ai tenté ma chance et c’était sincèrement une bonne surprise de faire partie des lauréats.
Comment se concrétise cette aide ?
C’est sur trois ans. Il y a une aide financière et l’appui d’un tuteur pour nous conseiller dans nos études et nous aider à trouver des stages. On est tenu d’échanger régulièrement avec lui pour se projeter sur la suite.
Où en êtes-vous aujourd’hui ?
Je fais un deuxième BTS, en un an cette fois, en gestion et maîtrise de l’eau, toujours en Lozère. Pour la suite, je suis en grande réflexion. Je pourrais travailler pour tout type de collectivités, syndicats mixtes, pour gérer l’eau potable et l’assainissement. Avec mon premier BTS Gestion et Protection de la nature, je pourrais intégrer pas mal de structures différentes dès que cela touche à l’environnement.
Une aide en période de pandémie, c’est encore plus appréciable ?
C’est certain mais je dois reconnaître qu’ici, en Lozère, nous avons moins senti la différence. J’ai pu bénéficier de tous mes cours en présentiel, à part pendant une semaine.
Quel bilan tirez-vous de ce soutien ?
J’ai apprécié l’échange avec le tuteur et le suivi fait par la Fondation. Avant le Covid, il y avait beaucoup d’événements organisés par la Fondation, notamment près de villes comme Montpellier et Toulouse et le réseau est assez exceptionnel. Il y a beaucoup de personnes à rencontrer.
Avril 2021