Salim Ahidar

 

Le Nîmois Salim Ahidar, boursier de la Fondation depuis septembre 2017, témoigne.

Quel est votre parcours ?
En juillet 2017, j’ai eu mon Baccalauréat Sciences et technologies du management et de la gestion (STMG), puis j’ai suivi une première année de DCG (Diplôme de Comptabilité et de Gestion). En 2020, j’ai obtenu du DUT Gestion des entreprises et des administrations avec une spécialité en finance et je suis actuellement en master Expert en contrôle de gestion et audit.

Quel métier souhaitez-vous faire plus tard ?
Celui de contrôleur de gestion. Il participe à la réussite de l’entreprise en l’aidant à atteindre ses objectifs et à éviter tout échec et surtout d’être toujours réactif à la demande, à l’attente des clients. Un bon contrôleur de gestion est quelqu’un qui, au-delà de sa bonne analyse des chiffres, est capable de voir et comprendre la réalité que ces chiffres reflètent, c’est-à-dire être sensible à ce qui se passe sur le terrain… Ce métier m’intéresse car j’ai de bonnes capacités d’analyse et suis bon communiquant.

Pourquoi avoir candidaté à la bourse de la Fondation ?
La Fondation m’a apporté un soutien majeur dès l’entrée dans les études supérieures en m’aidant à suivre un DGC puis un DUT en Finance, à Montpellier. Durant ce cursus, j’ai pu être accompagné par un tuteur expert comptable qui m’a beaucoup expliqué les métiers de la finance et m’a poussé vers une école de commerce. Finalement, le DUT se passant très bien, j’ai eu la possibilité d’intégrer le master Expert en contrôle de gestion et audit en école de commerce à Toulouse.

Qu’est-ce que cela vous a vraiment apporté ?
La Fondation m’a apporté un soutien indéniable tout au long de mes cinq années de formation. A ses côtés, j’ai pu faire des rencontres qui n’auraient sans doute pas été possibles. Mon tuteur m’a fait bénéficier de son expérience : ses conseils et son suivi m’ont été très précieux. Je garde également de très bons souvenirs des événements organisés par la Fondation : concerts, salons… Ces rencontres ont agréablement ponctué ma scolarité.

Que diriez-vous aux jeunes qui n’osent pas candidater ?
J’aimerais leur dire qu’ils doivent montrer leur détermination dans leurs projets et leurs objectifs, qu’ils fassent en sorte de réussir leurs études haut la main. Le soutien de la Fondation les engage dans une voie sérieuse et responsable. La Fondation les aidera à accomplir leur rêve.

Mars 2022