Juliette Canelha-Esteves

 

Après une brillante année de terminale au Lycée Jean Durand de Castelnaudary, Juliette Canelha-Esteves, née à Aubagne, a obtenu son baccalauréat scientifique avec mention très bien. A la rentrée suivante, elle a intégré la PACES de l’Université Paul Sabatier puis s’est spécialisée en Pharmacie. C’est dans cette filière qu’elle s’épanouit désormais, toujours à Toulouse.

Vous faites partie de la promotion 2015, cela fait cinq ans que vous bénéficiez du programme des « Bourses Actives » quel bilan faites-vous de cette expérience ? 
Expérience très positive pour ma part. Je n’ai reçu que du soutien et de la bienveillance de la part de la Fondation et des autres lauréats. Malgré les actions menées, je trouve que cette Fondation n’est pas assez représentée auprès des futurs étudiants universitaires. Elle m’a permis comme à beaucoup d’autres étudiants de suivre mon cursus beaucoup plus sereinement. Et je pense pouvoir dire que ma réussite scolaire en est la preuve.

Et sur le tutorat en particulier ? 
Je n’ai malheureusement pas pu bénéficier du tutorat durant toutes mes années au sein de la formation, mais il m’a beaucoup apporté durant ma première année qui était la plus déterminante et pour cela j’en suis reconnaissante.

Quel est votre meilleur souvenir en tant que lauréate de la Fondation ? 
Mon meilleur souvenir restera ma première soirée en tant que lauréate. C’était une soirée riche en émotions, et qui m’a permis de faire de nombreuses rencontres. Même si je ne mesurais pas à l’époque l’impact que la Fondation aurait sur ma vie et sur mes études.

Envisagez-vous de devenir tutrice à votre tour ?
Bien sûr, même si je n’ai pas pu bénéficier pleinement du tutorat. Je sais que beaucoup d’étudiants ont eu la chance d’avoir un tuteur présent et à l’écoute, et j’aimerai pouvoir apporter une partie de mon vécu et de mon expérience en tant qu’étudiante (ou future professionnelle) à une personne à travers cette Fondation.

Sur le plan professionnel, quels sont maintenant vos projets ? 
Je rentre en cinquième année de Pharmacie, dans la filière Industrie. Les possibilités qui s’offrent à moi sont tellement nombreuses et variées que je n’arrive pas encore à choisir entre la Recherche et le Développement, le Marketing Pharmaceutique, ou encore le domaine des Essais Cliniques. Ce dont je suis sûre, c’est que j’ai pris la bonne décision en choisissant cette filière.

Un mot pour définir ce que vous a apporté la Fondation pendant ces cinq années ? 
Sérénité.

Juillet 2020