Estelle Claeys

 

Réservée, enjouée et brillante, Estelle Claeys, du haut de ses 17 ans, a la tête bien sur les épaules. Son Baccalauréat Scientifique en poche, la voici étudiante en première année à l’IUT génie civil de Toulouse. Rencontre avec une jeune fille pleine de projets.

Pourquoi avoir postulé au programme des « Bourses Actives » de la Fondation ?
Ma sœur l’a reçue il y a trois ans, c’est elle qui m’a expliqué le principe. Elle-même avait été conseillée par un professeur. La procédure est simple, et une fois lauréate, c’est un vrai plus dans ma vie d’étudiante.

En quoi cela vous a-t-il aidée ?
C’est un apport financier bien entendu, mais pas seulement. Dans le cadre de la bourse, nous sommes accompagnés par un tuteur spécialisé dans notre domaine d’études. C’est une tutrice pour ma part. Nous nous rencontrons régulièrement et échangeons de nombreux courriels. Aujourd’hui, elle est dans la vie active et a donc du recul sur le bon rythme étudiant à avoir. Ses conseils m’ont été précieux lors de ma recherche de stage de fin d’année. D’autre part, la Fondation a de nombreux contacts et peut nous aider à trouver des entreprises susceptibles de nous accueillir périodiquement.

Comment voyez-vous votre avenir ?
Après mes deux années d’IUT, j’aimerais intégrer une école d’ingénieur pour plus tard travailler dans les travaux publics. Mais, outre mes études, je passe beaucoup de temps à m’exercer à l’euphorium (un petit tuba). Cela fait dix ans que j’en joue et je suis depuis quatre ans au Conservatoire de musique de Toulouse. Mon objectif pour l’année prochaine est d’obtenir le prix du conservatoire, peut-être avec mention …

Mai 2011