Saïd Zoubayr

SAÏD ZOUBAYR- LAURÉAT FONDATION GROUPE DEPECHE

Lauréat 2008, Saïd a obtenu un Master 2 Aménagement du Territoire. Aujourd’hui Gestionnaire Logistique à la Direction du Patrimoine et des Moyens Généraux au sein de la Région Occitanie, il revient sur son expérience en tant que lauréat de la Fondation, qui selon lui, lui « a donné la chance d’y croire ». Interview.

Quel a été votre parcours scolaire ?
J’ai fait un BTS NRC, Négociation Relation Client, puis j’ai continué en Licence Management du Sport qui m’a permis de poursuivre en Master 1 en Erasmus à Prague, un de mes meilleurs souvenirs d’étudiant ! Pour finir, j’ai obtenu un Master 2 Aménagement du Territoire, spécialité conception d’équipements sportifs.

Quel métier exercez-vous aujourd’hui ?
Je suis actuellement Gestionnaire Logistique, à la Direction du Patrimoine et des Moyens Généraux au sein de la Région Occitanie.  Un métier qui n’a rien à voir avec mes études mais dans lequel je m’épanouis. Néanmoins, j’aspire à revenir dans le domaine de l’aménagement du Territoire et du sport quand les conditions seront réunies.

Comment aviez-vous connu la Fondation ?
J’étais en Bac Pro vente au lycée Gabriel Péri lorsque j’ai entendu parler d’une bourse attribuée à certains étudiants, J’ai eu tous les détails ainsi que la démarche à suivre par le biais d’amis.

Que vous a apporté la Fondation ?
Elle m’a tout simplement donné la chance d’y croire ! Je vous avoue que les personnes qui me soutenaient au sein de la Fondation y croyaient plus que moi par moment. Une très grande disponibilité, un tuteur orienté dans mon secteur d’activité, un cadre que je n’aurais su créer personnellement. Ah oui, j’allais oublier, un soutien financier qui n’est pas négligeable. Cela m’a donné l’occasion d’arrêter mes petits boulots d’à côté (opérateur téléphonique …) et ainsi de me focaliser un peu plus sur mes études.

Quels conseils donneriez-vous aux futurs bacheliers qui souhaitent tenter leur chance ?
Saisissez la main qui vous est tendue ! Vous n’aurez peut-être pas deux fois cette chance. Il faut y croire ! C’est possible, j’en suis une preuve indéniable, car je n’étais vraiment pas prédestiné à faire de longues études. Il faut bien sûr s’armer d’huile de coude et être déterminé.

Avril 2018