Rémi Dubor, Lauréat 2013 et tuteur

Rémi Dubor, lauréat 2013

Rémi, vous êtes lauréat 2013 de la Fondation. Parlez-nous de vous : quel parcours universitaire avez-vous suivi et que faites-vous aujourd’hui ?
Après mon Bac Professionnel Technicien du Bâtiment Option Assistant en Architecture, j’ai fait un BTS Enveloppe du Bâtiment. Suite à l’obtention de mon BTS, j’ai intégré l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Grenoble où j’ai obtenu ma Licence en Architecture et ensuite j’ai intégré l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Toulouse où je suis en train de finir mon Master en Architecture.
En parallèle de mes études, j’ai travaillé dans une agence d’architecture, ce qui m’a permis de mettre un premier pied dans la réalité du travail d’architecte.

Pourquoi avez-vous accepté d’être tuteur à votre tour ?
La Fondation a été très importante pour moi et pour la réalisation de mes études. Dès les premiers instants où je suis devenu lauréat, elle a tout fait pour m’aider et m’accompagner. Alors quand l’équipe m’a demandé d’être tuteur, je n’ai pas hésité une seconde et j’ai accepté. Pouvoir aider une lauréate, comme moi j’ai pu être aidé par la Fondation, est un petit défi mais surtout un véritable plaisir.

Comment s’est passé la prise de contact avec Marie-Sarah Frey-Cases ? Qu’est-ce que cela vous fait d’être “de l’autre côté” ?
La prise de contact s’est très bien passée. Marie-Sarah est une jeune étudiante très motivée et passionnée par l’architecture, c’est un réel plaisir d’échanger avec elle. De plus, étant à l’école d’architecture de Toulouse comme moi, c’est plus facile pour se voir.

Quels conseils lui avez-vous donnés pour réussir ses études ?
Je lui ai dit qu’elle avait choisi de faire des études qui ne sont pas faciles et qui allaient lui demander beaucoup de sacrifices. Mais je lui ai conseillé de ne pas négliger sa vie en dehors de l’architecture pour autant. Je lui ai conseillé d’être bien organisée et surtout de ne pas attendre le dernier moment pour faire les choses même si en architecture la “culture de la charrette” est très présente. Et puis le dernier conseil que je lui ai donné, c’est de me solliciter dès qu’elle en a besoin !

Janvier 2022